La géobiologie aujourd’hui

Aujourd’hui le sourcier-rebouteux d’antan s’appelle géobiologue. Si certains demeurent spécialisés dans la recherche de sources d’eau, le géobiologue moderne est un acteur de la santé naturelle à part entière.
Son activité principale est d’évaluer les risques pour la santé des habitants d’un lieu induits par les sources de pollutions locales, qu’elles soient naturelles ou artificielles. Elle est également, dans la mesure du possible, de protéger les habitants de ces risques en mettant en œuvre les actions adéquates. Dans tous les cas, il a un rôle de conseil par rapport à la mise en place de solutions permettant de remédier aux problèmes rencontrés (un problème de pollution électromagnétique peut par exemple requérir l’intervention d’un électricien).

Par habitant, on entend aussi bien des personnes que des animaux.
Par lieux: le lieu d’habitation le plus souvent, mais aussi le lieu de travail ou un endroit où les animaux séjournent.

Cela reste encore confidentiel, mais les opérateurs de l’énergie qui déploient des parcs éoliens font de plus en plus fréquemment appel aux géobiologues pour positionner les éoliennes.

Comment ça marche

La géobiologie n’est pas une science à proprement parler. J’envisage un futur article de blog pour développer un peu plus avant ce sujet. Pourtant c’est un art millénaire, et toutes les sources, toutes les mines trouvées par radiesthésie, toutes les personnes guéries après une soin par un « magnétiseur » ou après avoir déplacé leur lit suivant les recommandation d’un géobiologue, peuvent attester de l’efficacité de cet art lorsqu’il est bien pratiqué.

Est-ce si surprenant ? La science est une chose merveilleuse et a permis de grandes avancées pour l’humanité. Toutefois on aurait tord de penser que la science est la seule réponse possible. De « la coquille de l’œuf de la poule » à la matière noire, il y a nombre de mystères que la science n’explique pas. Et en premier lieu la réponse à cette question : « Qu’est-ce que la vie ? »

Pour qui cherche un sens à la vie, peut-on se contenter d’une réalité faite à plus de 99,99 % de vide (dans l’atome, entre le noyau et les électrons), et qui n’existe que dans un présent infiniment petit, coincée entre un passé déjà révolu et un futur qui n’existe pas encore ?

La relativité du temps, de même que l’intrication quantique, sont avérées. Pas nécessairement comprises cependant.

Le pendule ou la baguette du géobiologue aurait donc un pouvoir ? La réponse à cette question est non !
Le pendule, comme les baguettes et autres antennes de Lécher n’ont pas d’autre fonction que d’amplifier et donc rendre visible les ressentis physiques de ceux qui les utilisent. Il a été démontré que le corps est sensible au 1000ième du champ magnétique terrestre. Comme les oiseaux migrateurs, les hommes disposent, à certains endroits du corps, de magnétite. Le géobiologue est donc d’une certaine façon l’instrument de ses mesures. La science saura-t-elle l’expliquer un jour? L’avenir le dira.

En attendant, le géobiologue navigue de façon assumée de part et d’autre de la frontière entre la physique et métaphysique, car ce qui compte avant tout c’est le bien-être de son client. Ce qui marche mérite d’être utilisé, même si ce n’est pas conforme au dogme.