Les mémoires

C’est souvent le domaine le plus intrigant sur lequel le géobiologue est amené à travailler. Pourtant la force de l’intention est universellement connue et reconnue, par la science comme par les religions. Elle est connue certes,  mais pas caractérisée.
Pour le physicien quantique il s’agit du facteur de charme qui se traduit par la prise en compte de l’opérateur dans le résultat de l’expérience. Pour la médecine c’est l’effet placébo, et même maintenant l’effet nocébo (manifestation des effets secondaire du médicament chez la personne qui a reçu le placébo).

Pour les Chrétiens comme pour les Hébreux, au commencement est le « Verbe », et le Verbe est créateur. Le Verbe est l’intention qui s’exprime. Accompagné de la foi “qui peut soulever des montagnes”, tout ce qui est créé est né d’une intention.
La langue des oiseaux, cette langue qu’emploient les alchimistes nous confirme qu’il s’agit d’une énergie: « in – tension = la tension dedans ». Il ne manque qu’un support pour qu’il y ait du courant et donc de l’énergie.

Le géobiologue n’hésite pas à s’aventurer autour de cette frontière entre la physique et la métaphysique, car il sait que le lieux peut conserver sur de très longues durées les traces des émotions vécues, surtout si elles ont été violentes. Et que ces signatures peuvent continuer à imprimer l’ambiance d’un lieu et rayonner sur ceux qui y vivent. Il se doit alors de rétablir l’équilibre.